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Nouvelle figure de la scène émergente francophone, le talu est un·e·x artiste trans non-binaire basé·e·x à Bruxelles. Accompagné·e·x sur scène par la productrice et compositrice maïa blondeau, iel construit un voyage hybride, entre cloud rap, post trip hop, électro, ASMR érotique queer et pop triste.
le talu aime parler de sexe pas hétéro, se moquer des riches et noyer son chagrin dans l’autotune. Élocution suave et flegmatique pour vous raconter ses nuits les plus chaudes dans le creux de l’oreille, flow acéré et insolent pour proférer des malédictions vénéneuses, iel se livre sur les beats presque gabbers, les geeky glitchs et les envolées mélancoliques des musiciennes et électro-acousticiennes maïa blondeau et o0ryxss4355, avec qui iel compose son premier album sortir en juin 2024: «tuning contre la sadness»
PIFFY
Piffy est une artiste complètement barrée. Obsédée par les chauves-souris et les beats les plus déjantés, elle crée des chansons pour tous ceux qui se sentent un peu à part. Elle parle de tout et de rien, du body shaming aux gémissements un peu trop forts, en passant par le fameux “laisser moi tranquille”. Et le mot “bébé”, elle l’adore ! Pas étonnant quand on sait qu’elle refuse de grandir.
Sur scène, c’est le chaos le plus total ! Piffy saute partout, danse comme une folle (et avoue-le, c’est plutôt drôle), et n’hésite pas à discuter avec le public. Pour elle, ses fans, les “Piffers”, sont une famille. Ce sont des gens sensibles, un peu nerds, qui ont gardé leur âme d’enfant. Des introvertis qui n’ont pas peur d’être eux-mêmes, même si ça veut dire danser comme un robot ou raconter des blagues nulles. En bref, Piffy, c’est l’antidote parfait à la morosité. Elle nous rappelle qu’il faut oser être différent et s’amuser, quoi qu’il arrive.